Des Lois.

Les lois de la nature priment. Les druides fûrent dépositaire du droit coutumier.
Les lois de la nature priment. Les druides fûrent dépositaire du droit coutumier.

D'après les éléments que nous avons, les druides étaient les garants de la civilisation et du bon soutient de l'ordre.


La faucille est la marque de la loi gauloise, son symbole direct, comme la France utilise une balance.

C'est le symbole de la loi physique connue et écrite mais c'est aussi le symbole de la loi passionnelle, de la vengeance.

Cette faucille tranchante pouvait juger des lois au nom du ciel d'orage, les lois divines, les lois humaines aussi mais encore des lois personnelles.

Dans les nuées, dans le temple humain et dans notre fort personnel.


Il existe une vraie différence entre la société polythéiste de prévention permettant l'épanouissement et celle monothéiste de la stigmatisation à tous va.

En France on dit souvent qu'il existe des lois officielles et des lois officieuses, les premières sont faites pour cadrer la majorité des gens et les secondes sont faites pour permettre à des gens de s'installer au dessus des autres selon des us et coutumes locales. Si vous avez un QI d'huître mais que que vos parents sont devenus des notables du coin, vous serez protégés par des lois officieuses, dites aussi lois claniques. Ainsi certaines familles s'abrogent des droits et les réseaux d'influences permettent d'installer un système de protection pour les biens nés, et quelquefois pour les mafias locales. Ça fonctionne selon le même principe.

La force brutale et la stigmatisation servent à installer ces situations. De la à dire que les monothéistes sont souvent des gens intransigeants sans réelle morale d'équité, il n'y a qu'un pas.


Ces lois claniques se retrouvent à tous les niveaux de la société en France.


Liberté, égalité, fraternité.


La liberté est tendancieuse dans une société fondée sur des lois car dès lors qu'une loi est édictée, elle bafoue la liberté de tout faire. Concept trés relatif donc, la liberté totale ne peut exister en société.


L'égalité n'a jamais réellement existée, c'est une gageure, un conte pour enfant, tous les banquiers vous le diront.


La fraternité dépend des clans,

 c'est encore tendancieux comme concept national car en France, les lois ne sont pas faites de la même manière pour tout le monde. Les lois reposent sur la puissance de certains groupes, pas sur une justice sociale ou d'équité réellement:

La justice protégera toujours les grandes puissances financières avant les petits citoyens, entre autres groupes il y a aussi les puissances politiques, très peu condamnées, et d'autres encore..etc.


En définitive on pourrait dire que ces trois grands principes de la République française sont bafoués chaque jour et qu'ils auraient pu fonctionner si la corruption avait été durement combattue depuis le début. Mais ce fut très aléatoire et je pense que nous assistons de nos jours à la fin de la République française. Orchestrée par des puissances financières qui veulent désormais garder tout le gâteau pour elles seules....

On avait bien compris, l'homme politique est un fou chantant les vertues citoyennes d'obéissance à la loi, pendant que ceux qui la détournent s'enrichissent.


Cela se passait autrement dans les Gaules.


Car chez nous le concept de réalité, de vérité, est une base majeure. Les paroles en l'air, les tendances mouvantes, n'existent pas. Du réalisme et du courage, pas de politique.

Les gaulois affrontaient leur destin jusqu'au bout de leurs opinions et dans les principes sacralisés du druidisme.

C'était une autre époque, plus rude et plus belle sans doute aussi.


Chacun était responsable de la bonne tenue des attitudes au sein de sa tribu et du territoire concerné. Le grand druide avait lui le devoir de faire en sorte que les hommes et femmes, donneurs d'ordre, appartenant à la fraternité des tribus de toutes les Gaules, qu'ils gèrent correctement et en bonne forme les relations entre eux. Et ils devaient avoirs le même genre de "formation" et une pensée commune pour arriver à des échanges paisibles au possible. Les lois et les devoirs apprises communément fûrent mises en place pour cela, les futurs dirigeants avaient les mêmes enseignements.


La corruption n'existait pas, et d'après ce que j'ai pu déduire des usages financiers, chaque druide avait en charge les comptes publiques et la monnaie. C'est à dire que des gens qui avait pour seul but de vie la morale publique et pas l'enrichissement personnel, accordaient où pas la confiance de la tribu seulement aux personnes dignes de celles ci. La loi morale et la loi financière allaient de pairs.

Cela faisait une belle différence avec notre époque où le premier vecteur de corruption est la banque privé qui accorde ses attentions à certaines personnes choisies et pas à d'autres. La banque aurait dû rester nationale, et servir seulement l'intérêt de la nation. Aujourd'hui le banquier privé s'enrichit sur le dos de la nation qui le lui permet légalement. C'est fou.



Il est difficile de juger qui a fauté vraiment, pour quelles causes et donc de condamner. La recherche de vérité était un point fort du style de vie des gaulois, cela apparaît clairement dans les textes anciens que nous étudions.

On faisait au mieux, au possible, les trahisons et mensonges étaient sévèrement punis au sein même de la communauté des élites gauloises. C'est sans doute aussi cela qui permis à leurs ennemis de les possèder car la tromperie n'était pas entrée dans la normalité d'une pensée qui recherchait la pureté et l'honnêteté. Les gaulois il y a deux milles que ne comprirent que trop tard que la manipulation et le mensonges systématiquement mise en oeuvre par les romains (mais aussi les Grecs et autres judéo-chretiens) pouvait exister au sein d'une guerre qui ne fût pas toujours trés noble.


Ce que nous pouvons déduire de l'étude de cette grande civilisation des druides, philosophiquement trés avancée, c'est que les gens qui fûrent jugés a cet époque écopaient de trois sortes de condamnation :


- la première, qui découlait du mensonge et de la trahison au sein des élites gauloises qui ne respectaient pas les lois générales, c'était la mort, il n'y a aucuns doutes là dessus, c'était une époque rude et guerrière.


- la seconde concernait le peuple qui devait vivre et s'entendre en respectant des réglementations de bonnes compréhension et de justice sociale, car les gaulois étaient libres de vivre leur vie et de participer aux activités qui leur convenaient. Il y avait des fraternités, des relations d'emplois, et bien sûr des lois familiales.

On sait de toute civilisation où la liberté et l'honneur sont montrées en exemple que la justice est rendue équitablement. Au sein même des tribus qui chacun est avaient leurs propres lois et façons d'évoluer dans le groupe.


- la troisième sorte de punitions entre parenthèses émanait directement de la religion et de la pensée druidique. Il y a fort à parier que certains étaient condamnés à des travaux de réflexion et d'étude, physiques où moraux, affiliés à  la pratique même du druidisme. Des sortes d'obligations de prier les dieux peut être où de rendre aux garants de la pensée gauloises des services. Quel en était la teneur exacte? Il faudrait étudier  les renseignements que nous avons sur le sujet dans toute l'Europe antique pour le savoir.