L'Abus.

 

L’Abus ;

 

 

 

Nous abordons là le principal défaut de l’être humain, ce qui fait tomber toute considération sur l’humanité élevée à, l’état de pensée primaire, et pire, de l’orgueil mal placé, source de la méchanceté gratuite.

 

Ne croyez pas, ne croyez rien de votre supériorité, cela ne ferait que ressortir votre ignominie ;

 

Les exemples ne manque pas ou l’on peut admirer les simples d’esprits se vanter sans en avoir l’air de leur possession sur le monde qui les entoure ; et plus encore quand ce monde reste silencieux, l’abus commence et se nourrit du silence des autres pour commencer.

 

C’est comme ce que l’on voir évolué des hommes et des femmes qui au demeurant vivent une vie basique au milieu de leurs congénères, et malheureusement, lâchement, crachent sur des voisins qu’ils ne connaissent même pas pour se mettre en valeur ; l’abus est la nourriture du pauvre, de ceux qui ne contrôlant rien font preuve d’agressivité contre et envers tout les êtres vivants les entourant . Bien sur au début il s’agit de jalousie, de vengeance personnelle diligentée au hasard, et puis les traumatismes de la vie reviennent en têtes plus ils sont déçus, plus ils deviennent agressifs, menés dans tous leurs actes par le dépit, par le besoin de démontrer leur valeur inexistante au demeurant.

 

C’est comme cela que les plus mauvais d’entre eux deviennent les meilleurs comédiens, mais dans la réalité crue, ils ne sont que des riens. Par là aussi que la corruptions commence, les faibles d’esprits et de corps ont besoin de l’aide du vice, de tous les vices, pour s’imposer par la malignité sans doute, cela ne fait aucunement l’intelligence ;

 

Et c’est comme cela qu’ils montent des pièges sentimentaux contre leurs congénères, ils doivent gagner à tout prix, ils ne font pas partie du monde ou du moins il se l’imaginent, alors ils veulent créé le leur. Imparfait, leur ressemblant, simple supposition des rêves éveillés  passée à la réalité, car de ces personnes perverses, il en reste toujours quelques unes parvenant à leurs buts, au fait de leurs délires ; La religion mais l’endoctrinement en général devient alors un but ultime, pas une chose naturelle. Et c’est grave.

 

A cela s’oppose l’être vrai, de ceux ne trichant pas car n’en ayant nul besoin, la nature et l’éducation ont tout à voir dans le comportement des gens. Il est de bonnes natures et il y a les autres, supposant leur toute puissance sur le reste de la création. C’est bien un besoin humain, c’est aussi la démonstration de la folie humaine ; On fait normalement pour servir et aider l’évolution général, vitale, ceux qui pratiquent l’abus comme une religion ne servent qu’eux même ;

L'abus, fils de l'orgueil, s'il n'est pas égal, reste pourtant le frère de l'égo.

 

 

 

 

 

A développer.