Satire druidique.

Je commence la une feuille un peu compliquée qui vas mettre un certain temps à se développer.


La pratique de la satire artistique permet de transformer un texte agréable, affable, en un texte trés exagéré, presque colérique, et vice versa.


La satire druidique est une branche de l'art de penser, plus que ça même car c'est l'instrument principal des prières et textes lumineux qui forgent le culte gaulois.

Selon les historiens antiques, les satire druidiques étaient magnifiques.

Les druides n'ont pas le droit de révéler les secrets du monde et ont utilisé la satire pour communiquer de façon détournée.


Le calendrier philosophique dont je décrit le fonctionnement sur une autre page permet d'écrire un texte équilibré, quasiment pour certains et complètement pour d'autre, un texte de prière.


La poésie qui en ressort, car la satire druidique est un poème chanté, se matîne de nombre de métaphores.

Par exemple, l'"oeuf de serpent"  est synonyme de visage, de commencement de la vie et du conte.


Si vous utilisez le calendrier philosophique (je vous le conseille), il vous faudra de manière impérative vous forger un lexique de renvoi métaphorique, chaque mot correspondant à un autre archétype.

La reconnaissance d'une satire druidique est conditionnée par le type et le nombre de métaphores employées.

La reconnaissance d'une culture en particulier est un geste spirituellement identitaire. C'est trés important pour le spectateur.

La satire gauloise est un texte prophétique.


Les triades existantes en Angleterre ne porte pas le sceau de la prophétie, cependant, la satire des druides gaulois se génère avec le calendrier, et donc assujetti le temps.

Les métamorphoses de l'esprit nouveau ont une activité sur les consciences.


nb: Auteurs gaulois, Lucillius Namatianus (dernier poëte payen), Montanus, Domitius Afer, Julius Africanus, Marcus Aper, Julius Secundus, Ausone. Dèbut de votre aire, donc proches des anciens récits druidiques.

On retrouve chez Lucillius Namatianus la mention de la satire, son explication. Vivant à l'époque romanisée il ne pouvait faire de grands états de ce qu'il savait, mais il a réussi à nous le faire passé à demi-mots.

 

"parlant de son père talentueux, (les druides étaient des pères pour l'étudiant), il dit ceci: c'est lui dont la satire ou se joue une muse mordante, ne le cédera ni à turnus ni à juvénal. Il a rétablit l'antique pudeur par ses critiques acérées, et en attaquant les méchants, il enseigne à être bon".

 

Bien sur c'est un témoignage à demi mots à une époque ou rome interdisait la culture gauloise, mais il nous a fait passer ainsi des informations importantes avec ses vers.

Et Ses écrits contiennent encore beaucoup de choses, comme la mention d'un sanglier que rien n'aurait pu arrêter et que même un dieu n'aurait pu enserrer.

 

Cette nymphe perfide dont il parle, c'est celle de l'amertume et de l'ironie du sort. ce genre d'inspiration prise sous un angle satirique donne des textes merveilleux quand on se réfère aux nombreux pouvoirs des divinités.

Il s'agit de Mori, ou Morgana, celle qui provoque la compassion et l'amour de son prochain.

Les textes en question permettent d'établir les fameux textes prophétiques dont on connait la saveur dans le livre des lumières.