Il y a longtemps de cela, il m'est arrivé une aventure hors du commun.

Je me promenais en les alentours du hautié de Viviane avec un ami quand repus du petit barbecue que nous avions fait à la hauteur de la source, nous quittions les lieux.

Un claquement sec fit entendre dans l'air, et lorsque nous arrivions au niveau du hautié, je remarquais un druide assit tout contre celui-ci.

Le vêtement qu'il portait était d'un mauve champignon, la capuche était suffisamment profonde pour que je ne puisse voir son visage et le tissu était épais, épais mais avec l'aspect soyeux, presque brillant.

Ses gants et ses chaussures avait la couleur et la légèreté du daim clair, les semelles étaient aussi constituées de cuir, plus épais manifestement.  Le laçage n'était pas croisé.

Une sorte de ceinture en cuir dessinée de croisement droits tout juste plus sombre maintenait la saie a la taille.

3 où 4 mètres plus loin, un homme de taille moyenne et au regard clair regardait le druide avec un air ébahis.

Je ne remarqua pas tout de suite le fait qu'aucune hombre n'entourait le personnage, ce fût plus tard que j'y repensais.

Je passais mon chemin quand mon ami me demanda ce que regardait cet homme, "le druide" répondis je.

"Quel druide?, je ne l'ai pas vu." Demanda t'il.

Je ne relevais pas et commençais a descendre vers le village par le val dans retour. C'était il y a 14 ans, heureusement j'ai une mémoire photographique, le dessin exposé ci-dessus est relativement proche de ce j'ai vu ce jour là. Ce que je peux vous dire, c'est que lorsque je me retournais dans la pente....le druide avait disparu.

Ce claquement sec, je me rappela l'avoir déjà entendu à une autre occasion, de celles que l'on oublie jamais. Et je devais l'entendre bien des fois par la suite....

Ceci est une histoire vrai.

Nb: n'utilisez jamais la couleur mauve pour votre saie, celle-ci appartient à quelqu'un. La couleur rouge apparaît dans la mythologie comme couleur sacrée, le vert profond est celle de l'arbre.

Je me promenais un matin losque je vîs Brennos, un jeune corbeau manifestement apprivoisé qui etait perché dans une jardinière en hauteur.

Intrigué, je m'arrêtais et commença a discuter avec lui. 30 seconde plus tard, il s'etait perché sur ma tête, puis sur mon épaule en me becquotant les poils des oreilles.

Message bien compris, je l'emmenais dans un endroit tranquille et lui donna un peu de pâté et de fruit.

Les corbeaux sont des oiseaux d'une extrème inteligence, il a bien senti qu'il pouvait me faire confiance, celui ci est en liberté totale bien sur, il aime bien qu'on prenne soins de lui et reste sur place pour l'instant.

Lorsqu'il sera bien sevré il s'envolera tout seul vers sa vie de corbeau.

Cette histoire est une histoire vraie, un peu de magie. Je vous raconterai un jour ce qui m'est arrivé avec un loup sauvage...qui se conduit comme un chien, un sanglier qui m'a empêché de dormir toute une nuit par jeu, détruisant presque ma tente de camping en tournant autour, et une petite chouette hulotte transie de froid qu'il a fallu choyée comme une reine tellement elle était capricieuse. Sans compter les nombreuses mouettes empoisonnées qui vinrent à moi dans leurs derniers instants.....et qui repartirent trois semaines plus tard avec l'estomac plein. Le goéland qui pavanait comme un coq devant nous.....fièr à bras!

Je prefère ne même pas parler de cette grande couleuvre qui tient à tout prix à venir habiter chez moi et d'un hérisson malade qui lors d'un épisode digne de la tragédie de Hamlet, est venu s'effondrer à mes pieds et mourir dans l'instant. Je l'ai enterré dignement, supposant que c'est ce qu'il voulait. Les deux magnifiques scorpions qui auraient pu me piquer pendant des heures (je ne savais pas qu'ils étaient là) et qui ne l'ont pas fait. Aucun animal n'attaque par pure méchanceté, il n'y a que l'homme qui fait ça, l'homme et le rat (moins souvent chez le rat).

Je tiens à dire que tout ce que je vous raconte là est exact et qu'il n'y a aucun miracle, le loup venait jauger le nouvel arrivant sur sa terre, le sanglier n'est qu'un gros gourmand, les scorpions recherchaient la chaleur parce qu'ils ne supportent pas le froid, tout ce qui s'est passé est normal.

Être druide c'est aussi et surtout un comportement.

D'ailleur, excusez moi je dois y aller, hiers c'était l'ouverture de la chasse et mon premier patient de la saison vient d'arriver.

Une jeune palombe trés fatiguée qui a attendu une bonne partie de la nuit devant ma porte.

Celui-ci est un baton de magicien, il doit être pris à la base d'un arbre, une branche, un rejet où une pousse morte. Le bois doit en être lourd.

Ce n'est pas un baton d'apparat et il doit rester avec son aspect naturel initial, écorçé où pas. Le bas du bout de bois en devient la tête, il fait environ un mêtre avec des formes arrondies. La encore il s'agit d'une magie de protection.

La coupe que vous voyez sert à préparer les potions qui maçèrent dedans, ici un baume contre l'exzéma, trés efficace.

J'ai toujours été étonné de l'efficacité des plantes qui dépassent souvent de loin les médicament chimiques.

Sur l'une des monnaies étudiées, le visage est redessiné selon des motifs astronomiques, les sourcils sont des étoiles filantes, les dents deviennent des pierres alignées et la bouche est transcrite en faucille, une vouge plus precisément.

Cette vouge lunaire représente la parole du druide, qui tranche les sujets et taille l'arbre de sa spiritualité.

Le druide parle en triade, formule de trois phrases complémentaires.

Ce gui, nos traditions ne l'on jamais perdu, le gui s'offre pour porter bonheur et suspendu au dessus d'une porte il attire la bienveillance des dieux.

On retrouve des branches de cette plante, tiges et boules sur des monnaies gauloises, chaque tribu possédait une forme de branche différente et toutes les tribus du gui formaient leur alliance un peu comme la boule de gui.

C'est donc le grand druide qui ceuille la boule une fois par an et en distribu les branches aux autres druides.

Il s'offrait en cadeau de paix lors d'une visite d'un chef à un autre. C'est un symbole de paix, purement. 

Nb: le rameau de gui offert doit comporter deux boules, une de chaque côté.

Sur la feuille "cosmologie" vous trouverez d'autres usages du gui.

Les coiffes que l'on peut voir sur les photos de druides modernes sont copiées sur des tableaux représentant les sacerdotes du 17 em siècle. 

Grâce aux sculptures, on peut s'apercevoir que la coiffe du druidisant il y a 2000 années est en fait trés prôche du calot de marin d'aujourd'hui ou du bicorne napoleonien, celui qui est rond avec deux anses.

Ce qui correspond d'ailleurs aussi aux croyances sur les eaux, les océans temporels.

Il ne coûte pas trés cher et est extrêmement solide, je vous le conseille.

Par ailleurs jeune comprend pas pourquoi les gens d'un groupe dit "ordre ancien des druides..etc.." je ne sais quoi..blabla, portent tous des coiffes féminines puisque ce sont des hommes. Ils les ont copié sur les images de la stèle du chasseur à la biche. Et sur cette pierre sont représentées les trois mattres portant ces coiffes feminines donc.

Nous avons des renseignements sur le fait que les anciens druides portaient quelquefois l'épée, des sculptures avec un seul et unique bouclier où bien un arc ,de plus, certaines légendes parlent d'une lance.

N'oubliez pas que tout est dans la démonstration des idées philosophiques, le pragmatisme gaulois est la base des arts de la pensée.

L'épée était surtout portée pour son symbolisme:

"Parce que quelquefois il faut lutter".

Le bouclier unique était porté :

"Parce qu'il faut savoir se défendre contre certaines choses".

Un arc:

" Parce qu'il y a des dangers qu'il ne faut pas approcher".

Une grande lance:

"Parce qu'il existe des éléments qu'il faut toujours maintenir à distance".

Le Torc gaulois aussi appelé Maniaces où neman-iacos reconstruit, est un collier ouvert sur le devant comportant deux symboles jumeaux à ses extrémités. Le corp du collier lui même est en métal tressé mais on peut imaginer qu'à une époque il fut de branches où de lianes, voir de lierre .

Il a évolué en une forme de couronne composée de laurier par la suite.

Sa symbolique est retrouvée dans les cercles de pierres du néolithique avec leur ouverture. Au centre de ces cercles il y avait une place nue où pouvait se placer un être vivant, un homme où un arbre de mon avis.

Il fait le lien avec le cycle de la vie, celui où celle qui porte le Maniaces est donc considéré comme un humain libre car initié, c'est un noble. À l'époque antique tous n'étaient pas aussi libres et appartenaient à des maîtres.

C'est le bijoux, la marque sociale des érudits et des personnes eduquées selon nos rites encore aujourd'hui.

Sur le vase de gundestrup on peut voir que Kernunos tient le Torc à sa droite, côté physique du plan cosmogonique, à gauche pour nous si on le regarde en face.

Celui qui porte Torc possède donc sa vie dans le monde physique.

Note: le cercle de stonohenge a un fossé extérieur où fut enterré jadis un Maniaces géant conçu de deux têtes d'Aurochs (taureau antique) et de bois de cerf pour son collier. C'est la lumière du solstice d'hiver, de la Renaissance, qui pénètre directement dans le cercle de l'esprit symboliquement, le pouvoir de vie. C'est donc aussi à une époque le symbole de la ressurection et il dut se transmettre de père en fils, pareillement à une couronne, comme le démontre le vase de gundestrup. Sur le vase une déesse de tient entre le père et le fils, c'est elle qui fait la transmission et cela a sans doute à voir avec une cérémonie très ancienne.

Sur le vase de Gundestrup on peut voir que le vieux et le jeune sont séparés par le visage d'une déesse de la transmission, sur une monnaie Turon on voit un vieux barbu passer le maniaces à un jeune, les deux s'appuie chacun sur des sortes de bâtons où canes plantés entre eux pour signifier leur séparation de corps.

Les écrivains "officiels" ne font pas le rapprochement entre les Torcs connues chez les gaulois et celles ayant été fabriquées des millénaires avant sur le même territoire, signe encore d'une énorme tromperie de la part de ceux qui devraient défendre la culture gauloise et ses antécédents millénaires.

Voir par exemple la torc de st jean trolimon, une très belle pièce datant de -1300 avant "votre ère". Le style de ces objets très anciens n'a pas bougé pendant des milliers d'années.

Les colporteurs du roman national français vont devoir s'expliquer sur leurs grossièrs manquement à notre histoire antique fondamentalement gauloise.

Les cheveux sont le haut de l'arbre spirituel, ils sont "dans les cieux" et donc ont une forte valeur démonstrative. La réputation de la Gaules chevelue n'est pas une légende. Chez les guerriers on retrouve plutôt une coupe en forme de crête qui devait être colorée. Chez les rois au regard des monnaies on retrouve des coiffures complexes se servant des reflets lumineux sur les cheveux comme s'ils étaient associés au divin. Chez les druides et ça on le retrouve encore a notre époque, il semble que les coiffures aient toujours été agrémentées de tresses, petites ou grandes. J'en ait connu avec des tresses de moustache et de barbe aussi. Sur des monnaies on peut voir même si le dessin est abstrait que les personnages du sacré portent trois petites tresses sur le côté de la tête et devant les oreilles, pas sur le crâne. Il semble probable qu'elles n'aient été portées que sur la tempe gauche de la tête, eut égard au plan cosmogonique. D'après les dessins ces trois tresses sont prises sur la tempe et la barbe. On les retrouve dans d'autres cultures européennes nordique où italique plus longues.