Notes.

Les arbres n'entrent pas directement en compte dans les calculs de l'astrologie gauloise antique.

L'arbre la nuit est un arbre mort avec ce rapport aux cieux où montent les âmes des défunts, le dieu en rapport est kernunos, dieu de la conscience entre animalité et spiritualité.

L'arbre de jour est un arbre vivant avec sa magie toute aussi vivante. C'est celui d'Ogmios et de l'évolution du soleil annuellement.

Mes résultats 2024 me conforte dans mes opinions, il existait deux façons d'établir un thème de naissance, beaucoup plus important pour les gens il y a plus de deux mille ans.

Le premier est populaire et il s'établit grâce au jour de naissance correspondant à une des sept planètes, masculines où féminines selon la semaine, ensuite on prenait en compte la quinzaine du mois de la lune montante (1ère quinzaine) où descendante (2eme quinzaine), et puis le mois de naissance, la saison, le semestre et l'année.

Soit en principal, le jour, la quinzaine, le mois et la saison. Cela servait aussi de date d'anniversaire mais le thème zodiacal fût très important pour les gens du peuple, et pas que.

De ce que j'ai pu déduire des monnaies et du culte, les nobles avaient eux mêmes un thème différencié, en plus de celui du jour de naissance ils étaient associés à une des constellations du dôme, à la lune, aux nuages, au soleil quelquefois. C'est à dire que le moment précis de la naissance était pris en compte, ce qu'il y avait dans le ciel à leur naissance entrait dans leur identité de personnes. 

Pour les nobles et les anciens rois, on retrouve toujours quatres symboles en croix, naissance, jeunesse, maturité et vieillesse, et pouvant être des constellations, des nuages, des lunes ou soleils. Cela doit correspondre au ciel de la date de naissance.

Car le thème zodiacal gaulois offrait une identité complète et sacrée à l'époque, le nom donné à la personne devait en découler sûrement.

L'agencement des constellations ressemble à des branches et c'est pour ça qu'on parle des sylves, des frondaisons.

L'utilisation de nom d'arbres différents provient du druidisme moderne mais il est vrai que les constellations sur monnaies sont quelquefois associées à un arbre en décor.

De ce qui ressort, l'arbre est un archétype trés général chez les gaulois. À cette époque certains arbres maîtres étaient gigantesques. De là les gens dirent qu'ils montaient jusqu'au ciel et aux étoiles.

En terme de druidisme antique je pense qu'on peut surtout parler de branches zodiacales appartenant aux différents symboles qu'elles dessinent.

Ce qu'on appelle bosquet druidique moderne appartient aux abords et différents arbres entourant une clairière nue, dire que différents 🌲 arbres forment les constellations et offrent un signe de caractère à chacun est faux. De ce que je sache ils sont associés à des divinités tutélaires animales et donc ils sont les symboles appartenant à des druides(ses) et seulement à des druides(ses) Cela ne convient pas à l'astrologie générale. Mais évidemment chacun est libre d'assumer ses créations zodiacales. Moi ce que j'en pense c'est que les esprits de la nature et donc des arbres et des animaux leurs correspondants appartenaient au culte animiste présent depuis toujours sur les territoires gaulois. Là je suis sûr de ne pas me tromper.

Il n'y a que trois arbres semblant vraiment importants (avec le bouleau) en druidisme antique, le chêne rouvre, le hêtre et le frêne. Ça ressort de l'étude du graphisme assez nettement.

Les planètes étaient associées à des fruits par exemple, donc il n'existait qu'un seul arbre, "générique", du ciel étoilé.

Le lierre grimpant joue d'importance aussi.

Le soleil est masculin, la lune est féminine. C'est le jour et la nuit M/F.

Il y a deux trinités, masculine et féminine. Jour/nuit.

Le dragon est masculin, la vouivre est féminine.

Les animaux ont eut beaucoup d'importance pour désigner la personnalité des gens divers. Ils entrent en compte dans la personnalité et l'astrologie personnelle.

Pour ce qui est du zodiaque masculin des eres, nous sommes entrés dans l'arbre du centaure depuis une cinquantaine d'années. Les torc et maniaces doivent donc comporter deux têtes de chevaux, deux centaures, deux trèfles de trois feuilles, ou trois visages à chacun des bouts. L'aire des femmes devrait correspondre a la position de la lune le 25 décembre au matin., c'est sans doute le verseau (à vérifier).

Il y avait les grandes aires de 2500 ans et les petites aires de deux et demi correspondante aux douzes dieux tutélaires de la vie.

Donc les astres de nuit appartiennent au royaume de Donn (Dana).

Il y avait douze constellations dans la couronne.

Chaque mois possèdait un visage lumineux (MAT) où un visage sombre (ANMAT), qui changait selon la période. Par exemple c'est comme si nous comptions de mois en mois lumineux-sombre-lumineux-sombre pendant 1 petite ère mais qu'à la fin de celle ci (qui échoit en plein milieu d'année), on recommençait à compter son ère "jumelle" avec les tendances inversées sombre-lumineux-sombre-lumineux..etc.

Ce qui fait que pendant un lustre, soit deux petites ères suivies, chaque mois s'est vu transformé en lumineux pour la première et en sombre à la seconde.

Chaque petites ère commence par sombre et finit par sombre.

Sur une petite ère de deux ans et demi (30 mois) doublée on comptait donc peut être 60 formes divines différentes pendant un lustre gaulois c'est un compte concernant  l'astrologie en particulier.

Il y a 12 petites ères sur un saitlo soit 360 mois.

Chaque mois se composait d'une période ascendante puis d'une période descendante.

Le calcul en astrologie gauloise fut sans doute assez détaillé, suffisamment pour donner la "carte d'identité zodiacale" de chaque naissance. Et il est fort possible que ce calcul astrologique sur trente ans ait servit en son temps comme registre d'état civil. C'est à dire qu'au lieu d'avoir le nom, prénom, date de naissance, on inscrivait le siècle, le lustre, la petite ère, le nombre et la période montante où descendante et la divinité attitrée. À ces époques anciennes ces choses étaient prises très au sérieux. Il s'agissait de l'identité divine de chaque personne dans un culte réincarnatoire.

Ça ressemble au karma mais le calcul est très différent.

J'en viens à penser qu'une bonne partie des noms divins étudiés dans la section mythologie appartenaient à des hommes et femmes reconnus dans leur réincarnation (voir Latobios).

Toutes les constellations forment la mémoire des peuples gaulois, commune.

Les étoiles filantes sont des messagères.

on peut imaginer que des cérémonies spécifiques avaient lieu aux dates de l’année ou apparaissent les bolides arrivant sur terre. j'imagine bien des gens en train attendre les signes du ciel à ces moments.

Il n'y a que huit planètes, la neuvième, Pluton, n'est pas une planète car elle ne reflète pas la lumière. La huitième est la terre 

La lune se partageait entre le jour et la nuit, en deux cycles, montant et descendant.

Le calendrier des femmes tourne avec le chiffre 6.

Le calendrier des hommes tourne avec le chiffre 8.

Les périodes d'influences astrologiques sont de cinq jours.

Le calendrier confondu, luni-solaire, fait trente ans.

Il commença il y a des milliers d'années avec la confluence du solstice d'hiver et des trois étoiles des grues (Orion).

Il y a une période d’animalité, une humaine et une spirituelle, pour le soleil et aussi pour la lune.

Lumière, et ombragé.

La période sombre, ombragée, de l'arbre des femmes, spirituelle, des femmes est la lune nuageuse, dite: "la penseuse".

La première partie lumineuse, chez la femme, est une période de gestation lumineuse, la lune qui grossit.

Il s'agit d'un enfantement physique et spirituel. L’accès au titre de "mère". C'est pour ça qu'on les appelait les trois mattres.

Les éclipses sont des signes de Mort et de renaissance du soleil, symbole de renaissance Royal.

Il y a un zodiaque masculin et un zodiaque feminin, 12 symboles chacun.

Chaque signe, chaque créature zodiacale de la couronne habite une constellation en forme d'arbre. C'est le bosquet entourant la clairière au centre de laquelle est l'arbre central des étoiles.

Lorsque le soleil est dans un arbre ( vision du milieu d'un cercle de pierres) au moment d'une naissance, l'enfant gardait le signe astrologique et l'arbre en question comme symbole.

Chez les gaulois il s'agit d'une renaissance, d'une réincarnation. Ce n'est pas une simple naissance.

Et c'est exactement la même symbolique qu'a Stonehenge, la renaissance de la lumière de la vie sur terre lors d'un solstice.

"Chaque naissance est une porte, comme l'exemple d'un solstice d'hiver qui renvoie la lumière pour un nouveaux cycle de Lugus.

Mais pour les humains cette résurrection peut avoir lieu n'importe quand dans l'année.

Exemple, si je devais me tracer un cercle de Pierre, j'orienterais la porte vers mon signe astrologique à mon heure de renaissance.

Nb: il se pourrait que pour la parte féminine, la position de la lune importe dans le calcul astrologique.

Le nombre de pierres correspondrai au nombre de réincarnation?. De vies connues. Une Pierre égal une période (sombre) et un ajourement (lumière) entre les pierres égal une vie? Et l'entrée égale une renaissance.

Basiquement il y en a douze. Mais pour certaines personnes dont les réincarnations sont connues, beaucoup plus.... peut-être.

Cette utilisation d'espace clairs où assombris existe depuis toujours dans les cercles de pierres, c'était déjà il y a des millénaires une religion des lumières. D'ailleurs on s'aperçoit bien que des feux tenus à l'intérieur et extérieur des cercles mégalithes forment des effets lumineux très spéciaux.

Exemple 2: Si je devais faire fabriquer un "Maníacis-os" (racine française "magnifique", le bijoux, la beauté de l'âme), une torc personnalisable, les deux bouts prendront la forme de mon symbole astrologique personnel. Et le métal forgé reliant les deux têtes, ressemblerai aux branches de mon arbre de naissance.

Dans l'interprétation des signes du ciel les couleurs et les formes de la lune eurent nécessairement un impact sur le culte. Exemple : lune maigre, lune des fleurs, super lune, lune grise, lune cachée, lune blonde, rousse...etc. c'était un métier de druidesse et ce sont elles qui justement eurent la réputation de prophètesses en Europe.

Les planètes sont en lien avec sept déesses sulevias. Le calendrier Coligny note certains mots qui pourrait bien être le nom de ces jours de la semaine correspondant aux sept planètes connues dans leur ordre d'apparition physique sur l'année. Une huitième est la terre considérée comme centre de la spiritualité.

Brigiumu en début,

Exicingi, où cingi,

Ganor,

 Iugo, 

Ociumu,

Oxtantia,

Quimon,

Tinad,

Recoupement fait avec l'étude sur la mythologie des sulevias, certains termes sont effectivement proches du nom des déesses en question et désignerait des planètes.

Je retiens:

Nb: le renouveau du calendrier a commença le 25 décembre 2015, car la première période lumineuse au 21 mars 2015 correspond à un évènement astronomique très rare et prometteur. Une conjonction bien peu ordinaire qui ne se renouvellera pas avant la prochaine aire.

Imaginons un jeu, un jeu de huits planètes, dont la terre.

Chacune aurait un visage physique et un autre philosophique.

Cela ferait 16 planètes jouables.

Au centre serait l'humanité.

Qui prendrait l'apparence d'un arbre ou d'une roue.

La base de départ c'est la terre, planète de la passion.

La première règle est de ne jamais dépasser le chiffre huit, sinon c'est recommencement au début.

Chaque planète possèdait trois niveaux.

Nous avons un dés à huit faces (voir pierre du philosophe).

Chaque coup porte trois couleurs.

*

Notes: Le contraire absolu du soleil est Pluton le menteur. La gradation des sept planètes pour investir le soleil vivant va ensuite à rebours vers Pluton la mort.

C'est le concept de lumière de la vie et noirceur de la mort. Son nom gaulois doit être Darcos.

Note: Thème astral.

Il est possible que lors de la naissance d'un enfant, lorsque la lumière de la vie réapparait (réincarnation), le thème astral ne soit pas calculé sur la base d'une heure et d'un jour de naissance mais entre deux événements déterminants (symbole de la torc). Cela pourrait être par exemple : "naissance entre le symbole x et le symbole y, de la quinzaine de symbole f, au mois de g, sous le signe de tel animal résident l'arbre o...

Ci dessus une représentation trouvée en France, datant du 5 ou 6èm siècle. On retrouve le.pprtzur de feu, de torche , c'est a dire de lumière que l'on connais par ailleurs sur les monnaies antiques. On peut apprécier l'évolution des nuvoles, nuages, en S qui forment ici une chaîne. La disposition de visages et d'une créature comme des étoiles et bien sûr ce que l'on appelle Andromède representée ici comme une créature endormie sur elle même.

Reprises sur les monnaies gauloises, elles sont en lien important avec les seigneurs et les dieux et déesses tutélaires de chaque tribu. Une constellation équivalente a un cycle, une divinité du ciel.

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Constellation et zodiaque gaulois, plus de détails et renseignements dans Alixion.

La jarre.

Bien connue sur les monnaies et en lien avec le culte des eaux, la jarre se situe dans le corbeau actuel, avec ses deux anses de chaque côté.

Le triscèle.

Il se trouve dans le Verseau actuel.

Le lézard.

Bien connue des gaulois, ils se trouvent sur nos monnaies juste à côté de l'oiseau des carnutes qui est un corbeau apparemment.

Le corbeau.

Il mange des boules de gui là haut, composé en partie de ce que vous appelez Pégase. Son oeil doit être dans M31.

La tarasque.

Issue du dragon elle incarne la peur, c'est aussi celle appelée "le loup affamé".

Elle se trouve entre le cocher et la girafe actuelle. Son étoile crie fort sa lumière, c'est une façon de dire qu'elle hurle. Sur les images elle porte des écailles, une queue a panache final, des griffes d'ours. Sur d'autres images la bête se transforme en une espèce de loup-garou humain, hurlant.

Le chaudron.

Il regroupe l'étoile de la queue de l'aigle et l'écu réunis. Très connu sur les monnaies.

La fougère.

Garante des nouvelles générations et présente sur les monnaies à l'avant des chevaux, c'est a dire dans le futur, la fougère est reconnaissable, ce n'est autre que la constellation de cassiopée.

Eridanus.

C'est le fleuve de l'histoire, les eaux du temps descendues du ciel qui se rendent à la mer, vers nos côtes océaniques pour remplir l'océan céleste. Encore aujourd'hui c'est la constellation d'Eridan.

La main divine.

C'est la main divine de la déesse, toujours située sous les chevaux galopant dans les étoiles comme si elle les soulevait. Il y a deux liserés de chaque côté comme pour le lys et c'est vrai que les deux ont été les symboles de la royauté chez les seigneurs et reines gauloises . Aujourd'hui c'est la constellation d'ophiucus.

Moltinos.

Il est dans la couronne zodiacale, porte quasiment le même symbole antique aujourd'hui. C'est un créateur et un meneur. Aujourd'hui Moltinos se fait appelé le Bélier.

L'écrevisse.

Elle lui ressemble beaucoup dans la position du scorpion actuel. Présente sur les monnaies, elle griffe le ventre des chevaux célestes, armée et agressive donc, elle reste un signe de la discrétion et de la surprise 

Canabetia.

La jeune chienne Canabetia, dite aussi Canabetia, n'a pas vieillit ces deux milles dernières années et elle est encore là, si ce n'est qu'aujourd'hui on l'appelle le grand chien avec Sirius comme repère, une étoile principale qui donne sa féminité à la petite constellation.

Le danseur.

Sur monnaies il tiens ses deux bras étendus de chaque côté du corps avec une tunique basse qui descend sous les hanches. Ailleurs il est entouré de plusieurs instruments de musique antique dansant dans la forêt. Aujourd'hui on voit ses deux bras étendus dans la constellation du lynx.

Apparemment c'est le chant des constellations supérieures qui le font danser avec leurs longues langues-chansons.. c'est également celui que l'on appelle l'homme aux doigts branchus, il appartient à l'arbre et souvent placé sous des animaux fantastiques.

Sirona.

Pas de doute, Sirona est présente sur les monnaies avec ses deux tresses flottantes autour de son visage et forment comme des nageoires. Aujourd'hui c'est la constellation de la vierge.

L'écrasé.

Il s'agit d'un homme écrasé par le centaure céleste, on voit qu'il fait comme une culbute sur les monnaies. Aujourd'hui situé dans la constellation de la coupe associée à une partie de l'hydre.

Le sceptre.

Son étoile principale est Altaïr, sur des monnaie il a la forme d'un bâton de commandement court ou sert de porte enseigne au sanglier.

Faisait partie de la couronne zodiacale antique.

Le messager.

Il ressemble à un coureur a pied dans son élan, sans armes ce ne peut être que le messager courant les campagnes pour porter les messages. Aujourd'hui c'est la constellation du cancer.

Le coq.

Un coq avec un corps humain, la créature se trouvait à la place du Sagittaire actuel. Le zodiaque avait été refait lors de l'invasion amis avant le centaure c'était le coq gaulois.

Matos.

Je dirais que c'est une partie de ce qu'on appelle capricorne maintenant. L'ourson est sous le sanglier.

Le lys.

Effectivement ce ne peut être que celle que l'on appelle balance aujourd'hui. Avec ses quatres étoiles profilant ses cotés et son sommet. Le lys était symbole de justice supérieure. Ailleurs il prend les formes d'une branche fourchue.

Le loup.

C'est encore la constellation du loup aujourd'hui, elle apparait dans sa forme sur les monnaies.

Le lièvre.

Le lièvre porte bonheur apparaît encore aujourd'hui à sa place.

Acionna.

Acionna, déesse des eaux du verseau. Elle apparait bien sur les monnaies, assise sur un trône avec des ailes d'ange, elle tient une grosse étoile très brillante, comme si la lumière coulait sur la terre. Ailleurs dans la même position elle tient un vase renversé vers le sol, la terre, c'est bien un signe gaulois.