Amours gauloises.

Nature.
Nature.

Gauloiserie

Les amours gauloises.


Chez l'homme gaulois la virilité est un mode de reconnaissance, une façon de vivre.


Les animaux associés à l'amour sont le blaireau pour les couches chaudes, et le lièvre qui permet d'échapper à la mort et en plus il garde en bonne santé et permet une descendance. Ce sont deux hauts symboles divins.


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Voir "condatis" qui semble être un lieu de mariage privilégié, en rapport avec deux rivières de vie qui se rejoigne pour n'en former plus qu'une.


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La femme gauloise est l'inspatrice de l'avenir de l'homme à l'instar des muses mythiques qui inspirent les artistes bardes, druides et rois. Elle peut être une guerrière terrible, cela ne corrompt en rien son état de mère. C'est la déesse Epona surtout qui en est l'image déifiée, la mère couveuse qui apporte la chaleur de son corps et de son esprit pour permettre la pérennité et donné les fruits sains à la tribu.

Si les muses ont donné leurs noms au musées, réceptacles de l'esprit en évolution des créateurs à travers leurs œuvres, la femme gauloise est de la même façon le réceptacle et la gardienne de la création physique des œuvres de chair et de sang, la descendance.

A travers le culte des eaux créatrices,les mères sont en effet sacralisées, être femme génitrice appartenant à une tribu gaule était une fierté.


Lors des amours créatrices, le mâle doit se maîtriser pour bien créer, gérer, et c'est lors de cette forme de relation pleine de respect mutuel que les amours gauloises se déroulent.

Il est bien connu que tous les fruits de la tribu, les enfants, appartiennent à la tribu en priorité car les gaulois vivait dans des grandes maisons communes, les enfants sont alors élevés tous ensembles.


Pour ce qui est des relations d'amours durant dans le temps, je crois qu'en effet certains couples demeuraient fidèle pendant des années, il devait s'agir de personnalités fortunés (certaines inscriptions se référant à des mariages fidèles nous sont parvenues), cependant, je doit admettre également que le principale soucis des amants gaulois était l'avenir que leur progéniture leur garantissait, il existe des traces de ces pratiques laissé dans l’étymologie des noms reconnus par la science de l'onomastique. Certains noms évoquent clairement le caractère amoureux aventurier de l'homme gaulois (celui qui connaît les cent chemins), l'amour est une histoire qui se meut comme le serpent du temps qui représente la vie, cette vie créative est toujours une aventure qui doit se maîtriser au mieux, ce sont les druides qui ont certainement imposé une forme de respect entre les amants à une époque ou la sauvagerie devais être combattu au mieux.

le gaulois est toujours prompte au désir. L'esprit gaulois dénote la aussi quelque chose de particulièrement remarquable, la relation charnelle est quasiment sacralisée par le culte de différents dieux, pour ne pas parler d'obsession sexuelle démontrant clairement une forme artistique très élaboré de l'amour et donc une façon de pensée amoureuse forte et pérenne. Cette réputation d'amants insatiables et d'amoureux vrais est resté dans la mémoire populaire et dans certaines inscriptions qu'ils nous ont laissé.


La cérémonie du mariage existait, celui ci pouvait s'interrompre au bout d'un délai assez court ou durer des années si l'amour était au rendez vous.


On a retrouvé des fossés en longueur ayant servit à receuillir des offrandes de vins blancs et rouges en grosses quantités, ceci à l'occasion de mariage. On a fait le rapprochement avec peut être une forme de cérémonie du mariage breton ancien mais il semble que ce soit les divinités du monde d'en bas qui se firent honorées, celles la même traduisant les instincts irrépressibles, les passions enflammées.


Les gaulois pouvaient se marier aprés avoir conçu des enfants.

"Calia ueiobiu sauni tiuberte mouno"


Ils respectaient une certaine éthique du sang transmis.


Nos gaulois vivaient dans le respect des femmes, une étude de la société gauloise porte les indices du matriarcat.

L'homosexualité.

L'homosexualité a existé chez les gaulois.

Il paraîtrait que beaucoup d'auteurs antiques en traitent, les décrivant comme un peuple entier de bisexuels....c'est faux. Ces mensonges viennent de gens délirants qui voudrait imposer l'homosexualité comme mode de vie. Personnellement j'ai décidé de l'interdire (pour une fois il s'agit d'une décision religieuse). Les autres druides gaulois, les vrais, ferons ce que la sagesse leur dicte.

Si je compare les chiffres des offrandes a Moritasgus, dieu du sexe, le rapport est d'environ 0,7 % pour les choses un peu a part.

Donc à vu de nez, les auteurs méditerranéens ont menti. Ce qui ne m'étonne pas d'eux car comme je l'écrit sur d'autres feuilles de ce site, ils ont aussi menti sur le nombre et l'existence des sacrifices humains...

 

On sait que cesar fréquentait des éphébes, hors il ne parle pas d'homosexualité chez les gaulois..

Il les décrit comme gentils mais au caractère explosif, cela correspond bien à ce que l'on sait. Ce genre de caractère ne peut pas se partager avec celui, beaucoup plus mielleux, des homosexuels.

 

De là je vais vous dire ce que je pense clairement, les homosexuels ont l'habitude de dépasser les limites de la normalité et si je n'ai rien de grave à leur reprocher, je sais également qu'ils ne savent pas s'arrêter.

On trouve même des gens parmis eux qui voudrait instaurer des nations d'homos, ce qui veut dire également qu'ils ne respectent pas la liberté des hétérosexuels.

 

Donc, pour moi, ces gens ne doivent pas imposer leurs manières de vivre au delà des limites naturelles.

Je conseillerais donc de ne pas les accepter, vous faites ce que vous voulez de votre côté évidemment.

Et je vous interdit de leur taper dessus. Les Toutagalation, ADF, gaulishpolythéism.com , carnutiannemeton, sont des clairières gay, du lobbies LGBT, ne vous trompez pas d'adresse ils confondent ce qui est devant et ce qui est derrière si l'on puis le dire non sans humour. En terme de druidisme gaulois ce sont des amateurs de n'importe quoi, surtout si l'on doit se cacher tout nus dans les bosquets; Pas de vrais druides mais des emprunts stupides et mals traduits de notre langue, du copiage arrogant. Si vous êtes Gay un peu fou, c'est par là que vous devez aller, mais n'espérez pas de réel druidisme gaulois chez eux, il s'agit d'un syncrétisme " Homosexual Freemasons ", On pourrait les appeler les trans-druids anglais. Si vous êtes gay normal, je pense que n'importe quel vraie cercle druidique vous accueillera...

 

En ce qui concerne les lesbiennes, je n'ai pas d'avis (et puis cela regarde les femmes), mais je sais qu'il a existé des tribus dans ce genre dont les mythes ont traversé les millénaires.

Graines.
Graines.

déviations.

je vois bien en étudiant les sites en lignes que certains ont un gout prononcé pour la sexualité, et je n'y vois aucun problème. ceci dit, lorsque je lis des textes tendancieux émettant l'idée saugrenu d'expériences entières avec le monde entier, je ne peux m’empêcher de corriger le tir. Il n'existe pas chez nous de déviations majeures, et pour employer un langage plus direct: Les partouzes ne me semble pas une bonne idée, surtout lorsqu'on demande à une spiritualité juste et équilibrée de justement conserver l'équilibre des couples et des familles dans le temps. Alors on peut en rigoler mais vraiment, si le plaisir sexuel n'appartint jadis qu'aux gens en ayant étudier les aspects les plus aventureux tout en restant dans la normalité, aujourd'hui aussi l'éducation sexuelle poussée à son paroxysme ne doit pas dépasser certaines mesures. Alors si j'entendais parler d'un druide incitant à des débordements contre nature, je n'y adhérerais franchement pas. d'autre part, si l'un de ceux là enseignait le respect et l'amour, autant que la connaissance parfaite des corps en la matière et l'évolution d'une relation amoureuse dans le temps, cela me semblerait complétement normal. Il me semble en effet à ce sujet qu'il n'est point de limites à l'imagination sinon celles de l'honnêteté et de la normalité. Le jeu faisant parti de la vie, sans celui ci il n'est pas de plaisir à prévoir. Tout est question de maitrise chez nous, la bestialité n'y apparait pas. A vous donc d'apprendre à quel point du jeu se situe le vice. A vous donc d'apprendre à vous maitriser.

Monogamie.

Grâce à l'archéologie on sait que nos ancêtres se mariaient pour la vie. Ils respectaient donc un serment de mariage et d'après les images pratiquaient la monogamie.

On sait par ailleurs que la polygamie fut tolérée en dehors de tout mariage.

Religieusement Amoureux.

Si Sucellus et Nantosuelta semblent avoir été les divinités du mariage, je crois qu'on peut rapprocher Grannos et Sirona en tant que dieu et déesse de l'amour au sens premier.



D'abord il faut dire que se marier était possible dés 12 ans à l'époque on était considérés adulte, on commençait à travailler vraiment et à fonder un foyer à l'âge de la puberté. C'était une question religieuse absolue, une façon de se protéger d'une vie dissolue.



Et oui l'on peut aimer sans sexualité, avec respect et compréhension.

Par contre transformer son apparence physique devient une dérive ou plus exactement un vice, une perversion d'ordre psychologique. Il s'agit de tromperie.

Un homme restera toujours un homme et une femme une femme.

Il y a un travers dans la considération religieuse, c'est celui de penser que la pureté d'une pensée où d'un moment, permet de tout faire accepter aux autres. La pureté d'un sentiment reste d'ordre instinctif.

Les enfants ne peuvent aimer une pensée où un travers adulte et donc il faut  mettre des barrières morale en rapport avec leur âge.

Un Livré Sacré Sur L'amour Gaulois... Pourquoi Pas.

On sait l'amour et les respect porté a la femme dans la civilisation gauloise, on sait également que la nudité publique des femmes n'était pas très appréciée grâce aux statuaires. Ovide est un auteur Gréco-latin ayant vécu au moment où la culture gauloises se mélange vraiment avec le monde culturel Méditerranée. C'est précisément a ce moment que les druides ouvrirent leurs connaissances aux autres par obligation. Il a écrit un livre, "l'art d'aimer" qui ne ressemble pas vraiment aux us et coutumes de l'époque, ni aux usages religieux grecques. Il a connu la culture gauloise et c'est sûrement l'auteur Gréco-romain le plus proche et le plus réformateur culturellement à cette époque.

L'écriture d'un livre purement gaulois devrait peut-être reprendre certaines bases conservées dans son ouvrage, n'oubliez pas que les romains ont essayé de mélanger les coutumes de tous les pays, donc Ovide devrait vous apporter de la matière gauloise.